Moulins, meuniers et meunières
Familles de meuniers Familles de meuniers
Moulin de Mésauboin

Comme son nom l'indique, ce moulin était partie du domaine de Mésauboin. Parmi les propriétaires, nous rencontrons René et Michel de la Saudrays (en 1675), Anne de Becdelièvre dame de la Saudrays, épouse du premier (1679-1691), Marie Rose Desclos, épouse de Pierre Martin, chevalier, seigneur de Montlige (1734) et Demoiselle Marie Rose Martin de Montlige, mineure perpétuelle (1809).
Le moulin de Mésauboin était situé sur l'actuelle Rivière de Billé, comme celui du Pont de Billé. Il se trouvait à environ 1 200 mètres à vol d'oiseau à l'ouest de ce dernier et à 300 mères au sud du manoir de Mésauboin. Il n'avait plus d'habitants au moment du recensement de 1856. Il a dû cesser de fonctionner entre 1854 et 1856. De nos jours, il n'en reste plus de traces.
La plus ancienne meunière connue à Mésauboin est Julienne Gaultier. Elle est citée dans un acte de la juridiction de Mésauboin du 11 avril 1642 comme meunière au moulin de cette seigneurie. Malheureusement, il n'a été trouvé à son sujet aucune autre information pour compléter cet acte difficile à déchiffrer.
Barthélémy Coupé 
Jeanne Hardé 

Loirie (1705)
En 1708, naquit à Landéan leur fils Pierre qui occupait en 1733 le moulin de Guéret. Ce fut aussi à Landéan, au moulin de l'Artoire, que Jeanne Hardé décéda en 1710. Le parcours de Barthélémy Coupé devint alors compliqué. Il contracta un second mariage avec Julienne Gillot à Landéan en 1711. Celle-ci mourut dix jours après leur mariage. Il épousera Jacquine Lambaré en 1735 à Balazé où son fils, Pierre s'était aussi marié en 1733. Il décéda aux hôpitaux de Vitré en 1741.
