Qui vivait là avant?
page de ce site a commencé à exploiter cette ressource pour la période 1836-1921. L'étude du cadastre de 1825 permet aussi de se faire une bonne idée de l'implantation des habitants. Cependant, il ne s'agit là que des propriétaires.
près avoir collecté une quantité importante de données sur les personnes et les familles ayant vécu à Billé, il est intéressant de constituer une cartographie de la commune représentant la population. Selon les époques, plusieurs sources peuvent apporter des connaissances sur le sujet. Les recensements, à partir de 1836, donnent des informations précises sur les personnes et les lieux où elles habitaient. UneLa source la plus large est la compilation des actes mariages, de baptêmes et de sépultures enregistrés par la paroisse avant la Révolution et ensuite par l'état civil qui a pris le relais. En particulier, les actes de baptême/naissances et de sépultures/décès mentionnent très souvent les lieux-dits. Ces mentions sont systématiques dans l'état civil et fréquentes au cours la seconde moité du XVIIIème siècle, mais les actes deviennent progressivement moins bavards en remontant vers le début du XVIIème siècle. C'est cette source qui est exploitée dans cette page et celles qui suivent pour situer les familles de Billé dans la commune au cours du temps.
La carte présentée est celle de l'assemblage du cadastre de 1825. Pour s'informer des habitants d'un hameau au cours de l'Histoire, il faut, après l'avoir repéré, cliquer sur la zone correspondante et la liste des familles qui l'ont occupé s'ouvre sur une autre page comportant un tableau. De là, les liens permettent de connaître les détails des familles et des personnes. Cette cartographie n'est pas exhaustive. Elle est tributaire des données enregistrées au moment de la recherche. Elle s'améliorera donc au fil du temps.
Cette représentation de la population de Billé à ses limites. En premier lieu, les actes mentionnent Le Bourg sans plus de précisions. Il en résulte une longue liste de familles bien difficile à appréhender. Il en est de même pour quelques lieux-dits particulièrement étendus comme la Renouardière. Lorsque les lieux-dits sont distincts par un quaficatif - haut, bas... - ce dernier était parfois omis. Dans ces cas, il a fallu trancher: Haute Cosvinière a été assimilé à Cosvinière, Haute Fonderie à Fonderie, Haut Mât à Mât, Grand Mésauboin à Mésauboin, Haute- et Grande- Veillerie à Veillerie... Ce sont des compromis discutables mais nécessaires jusqu'à ce qu'un document, acte notarié par exemple, devienne disponible pour améliorer l'annotation.